Voilà un petit moment que je n’avais pas blablaté par ici, et si
je reprends ma plume, c’est parce qu’il y a du lourd et du très lourd en
préparation les amis. Vous me connaissez, et quand j’aime quelque chose, il
faut que je le crie sur les toits, que je harangue les foules, que je bassine
tout le monde avec mon nouvel amour. En plus, de me transporter littéralement,
de m’enthousiasmer, m’émerveiller, je suis persuadée que cette nouvelle en
ravira plus d’un.
D’une part, parce que nous ne sommes que mardi, que le rude
lundi vous a déjà mis sur les rotules et que je suis sûre que vous avez hâte de
laisser de côté pour quelques 24 ou 48 belles heures la torture quotidienne du
travail*. Vous commencez déjà à planifier, rêver, vous projeter dans ce
merveilleux week-end qui arrive et peu importe que vous ayez ou non prévu
quelque chose, ce samedi 22 juin à partir de 15h, c’est à La Panacée qu’il
faudra être. Le nouveau centre de culture contemporaine de Montpellier ne
manque pas d’idées toutes plus géniales les unes que les autres. Le projet de Franck
Bauchard, directeur de La Panacée, va en faire saliver plus d’un, j’en suis
sûre.
« Un lieu qui expose, interroge et met en discussion les mutations des arts et de la culture, non seulement pour mieux saisir l’évolution des pratiques artistiques mais pour percevoir et questionner autrement le monde »
En pratique, cela donne un lieu rénové de manière
magistrale, du mobilier design sublime, avec des gens vraiment sympa dedans (du 100% passionné, moi je vous le dis!) et des projets qui font
voler en éclats les frontières entre réalité, virtualité et onirisme. Vous n'avez pas la possibilité de vous déplacer sur Montpellier pour ce week-end parce que votre téléporteur est chez le garagiste? Qu'à cela ne tienne! Il y a une solution pour approcher tout ça. Nul besoin d’aller
bien loin, il vous suffit de rester bien assis devant votre pc,
tablette, smartphone ou d’user de votre super pouvoir de Science-Infuse pour
vous diriger vers le monde merveilleux de Textopoly.
« Qu’ès aquò « Text[ou]p[ou]ly ? »** me
dit Mémé Petit-Suisse*** dans mon oreillette, une petite explication s'impose, mais mieux vaudra que vous alliez voir par vous-même, au cas où je me fasse mal comprendre...
Vous savez que j’aime beaucoup l’écriture, les projets
collaboratifs, les innovations, le métissage, les expériences et que si j’obtenais
un jour des pouvoirs divins, en plus d’asservir le monde pour en faire un lieu
de culture, d’amour et d’échange****, je m’octroierais le don d’ubiquité pour
participer à plus de projets comme celui de @ocadavre (une plateforme qu’il
vous faut aller voir et sur laquelle il ne faut pas hésiter à collaborer si
vous aimez écrire), pouvoir me consacrer à toutes les histoires un peu folles
qui trottent dans tête et que j’aimerais avoir le temps, le courage et le
talent de coucher sur le papier, et surtout pour pouvoir me promener à loisir,
autant que ce que je le veux dans le monde de Textopoly. Oui-oui, j’y viens, je
vous dis ce que c’est.
Textopoly c’est une carte, un nouveau territoire d’écriture
en ligne sur lequel tout le monde peut laisser libre court à son imagination.
Que ce soit en traçant son propre chemin de lecture, ou en créant votre
histoire. Cette carte infinie, qui mêle lieux réels (l’EAI de Montpellier pour
le Général Instin par exemple) et lieux imaginaires, vous aimerez vous y perdre
pour y déposer vos petits blablas et participer à un grand projet. « Lire
c’est créer à deux » disait Blazac, « Tout livre est le produit d’une
collaboration entre l’écrivain et ses lecteurs » écrivait Aldous Huxley,
ici ces paroles prennent tout leur sens. L’auteur comme le lecteur acquiert une
toute nouvelle position et l’écriture se charge d’un tout nouveau pouvoir, un
pouvoir qui se défait des contraintes matérielles et immatérielles, qui
interrogent sur le monde d’aujourd’hui et nos espaces, qui vous transporte dans
un univers alternatif, bien plus grand, ouvert et onirique que le vrai. Alors n’ayez
plus aucun doute et allez faire un tour sur la plateforme de Textopoly, pour
déposer un petit morceau de vous dans ces espaces infinis.
Et si l’envie vous prenait de partager de multiples façons
vos rêves, vous avez aussi la possibilité de déposer un message par là :
Bref, voilou les amis. N’hésitez pas à suivre La Panacée sur
les réseaux sociaux, bien que comme vous amis plussiens, il me tarde qu’il
rejoigne G+, vous pouvez d’ores et déjà connaître les actus et tout plein de
choses par ici :
Sur twitter : @LaPanace
Sur le site : http://www.lapanacee.org/
Sur le site de Textopoly : http://textopoly.org/
Et sur le blog de Textopoly : http://blog.textopoly.org/
Je vous fais d’énormes bisous @ tous, j’espère vous voir ce
samedi à La Panacée et je vous dis à très vite sur la toile ou dans les rues de
Montpellier (je suis facile à reconnaître, je suis une méditerranéenne blanche
comme un c**, petite, je parle fort et sinon, je suis une œuvre d’art ambulante
et je possède les plus beaux tatouages au monde !)
Des petites notes que Toi lecteur qui en a déjà marre de mon
verbiage tu peux faire semblant d’avoir lues:
*Non, je n’exagère pas. La preuve dans #ETC Mag n°1 !
(Une petite piqûre de rappel pour ceux qui n’ont pas encore téléchargé, lu,
aimé et partagé le super Mag de Djinnzz sur @EtaleTaCulture !)
**En Languedocien, le « o » se dit [ou] pour ceux
qui ne le savent pas ou qui s’obstinent à user de la prononciation, de l’orthographe
et des expressions de nos cousins de Marseille : Languedocien et Provençal,
c’est quand même pas la même chose !
***C’est ma vraie Mémé, plus petite que moi (1m58), plus
petite que ma mère (1m47), plus petite encore que ma grand-mère (1m42), elle
adorait manger son petit suisse au miel quand j’étais petite et c’est toujours
moi qui lui apportais son dessert, en en chipant une ou deux cuillères au
passage, mais était-ce vraiment méchant, je n’avais que 5 ans.
****J’ai déjà commencé à recruter mes futurs collaborateurs
et la #TeamMachiamélique prend peu à peu forme. @ledrJay aux commandes de la
compta, @Lactimel, une blogueuse super sympa, pour la propagande, l’équipe
extraordinaire des rédacteurs de #ETC Mag plus forts et plus sympa et plus
mieux que les Chevaliers du Zodiaque, Maître Djinnzz comme grand Manitou, l’adorable
et déjantée +Christelle Delhoye comme Muse, +Tyrian Dunaédine comme théologien
et exégète de ce nouvel ordre et +Seb Doppler comme grand directeur de l’Amour
et du Partage. Effectivement, je ne leur ai pas laissé le choix, mais faut bien
ce qu’il faut pour instaurer la tyrannie des rêves !
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